En France, travailler pour pouvoir financer ses études est désormais possible, peu importe sa nationalité ou son niveau d’études. Que ce soit au sein de l’université ou même intégrer une société, tout étudiant est autorisé à travailler. Les étudiants sont même fortement encouragés en ce sens et surtout dans le cas des étrangers.
Peut-on travailler tout en étudiant en France ?
Travailler en même temps qu’étudier est tout à fait le droit d’un étudiant étranger qui voyage et effectue ses études en France. Dans le cas d’un non-ressortissant de l’Union européenne, la disposition d’un titre séjour « étudiant » est primordiale pour pouvoir bénéficier librement de ce droit. La présentation d’une autorisation provisoire de travail (APT) n’est donc plus nécessaire. Il est aussi à noter que travailler jusqu’à 964 heures dans l’année, ce qui équivaut à 60 % de la durée du temps de travail, est autorisé par la loi française. Par rapport à cela, les étudiants étrangers en France bénéficient d’un SMIC ou salaire minimum interprofessionnel de croissance comme tout le monde dont la valeur de ce SMIC s’élève à 7,61 euros HT l’heure. De ce fait, on peut estimer que le gain d’un étudiant est à environ 76 euros HT par semaine en travaillant 10 heures la semaine.
Pourquoi choisir un travail à temps partiel durant votre voyage pour étudier ?
On a pu constater que les contrats de travail à temps partiel sont souvent les plus adaptés aux étudiants étrangers en France. Cela leur permet de pouvoir bien organiser leurs horaires de travail en fonction de ceux de leurs études. D’ailleurs, plusieurs secteurs comme l’hôtellerie et la restauration recrutent en priorité les étudiants pour occuper des postes en shift de nuit et même pendant les fins de semaine. S’ajoutant à cela, il existe aussi ce qu’on appelle jobs d’été et saisonniers. C’est une opportunité qui permet d’acquérir un maximum d’expériences dans divers domaines comme l’agriculture et le tourisme. Ce genre de contrat est parfois déterminé, mais peut être fixé chaque année.